Dans certains cas, la prescription de symptôme peut être un moyen efficace de sortir d'une spirale infernale. Cela consiste à « autoriser » voire accentuer un symptôme … qui du coup … perd de son intensité !
Comme lorsque Milton Erickson prescrit à une jeune fille de 10 ans de continuer à sucer son pouce, rendant même obligatoire cette succion dans certaines circonstances … il rend beaucoup moins attractif – parce qu’obligatoire et non interdit- le plaisir que prenait la jeune fille à sucer son pouce.
« La thérapie, c’est comme cracher dans la soupe de quelqu’un. Après, on peut continuer à manger, mais on n’y prend plus de plaisir. » Alfred Adler.
Et c’est valable dans bien des domaines, n’est-ce pas ?